Le récent chocPSG-Barcelone a confirmé que le club parisien dispose actuellement de l’équipe la plus forte d’Europe, grâce à la profondeur de ses réserves et à la qualité de ses joueurs, même en l’absence de plusieurs vedettes.
Une confrontation pleine d’histoires et de conflits
Ce n’était pas seulement un match de football, c’était aussi un épisode d’un véritable feuilleton :
- Nuno Mendes v Lamin Yamal
- Pedri v Vitina
- Luis Enrique contre son ancien beau-frère
Au cours des dix dernières années, cette rencontre est devenue l’un des classiques de la Ligue des champions, chargée de souvenirs, de symboles et de conflits particuliers.
L’avantage partiel de Barcelone… mais Paris est mieux préparé
En première mi-temps, Pedri avait un net avantage sur Vitina dans l’axe du terrain, avant que le rythme de Barcelone ne s’effondre avec son départ. Lamin Yamal, bien qu’ayant une tâche difficile face à Mendes, a forcé ce dernier à commettre des fautes qui auraient pu lui coûter un carton rouge.
Mais sur le plan collectif, Paris a semblé mieux organisé et préparé. Le duo Mendes – Hakimi a donné à l’équipe une puissance offensive énorme, alors que la défense barcelonaise a souffert de la fatigue, surtout quand Eric Garcia est tombé sous le coup de l’effort physique.
Enrique impose son style
Les Catalans ont entamé la seconde période avec moins de pression, et avec l’absence de Pedri, cela ressemblait à une partie d’échecs. En revanche, le Luis Enrique a continué à contrôler le match, en s’appuyant sur un système bien rodé et sur de nouveaux joueurs comme Zabarni, qui ont été rapidement intégrés dans l’équipe.
Même privé de quatre de ses piliers, Paris a démontré qu’il était actuellement l’équipe la plus forte du continent, grâce à ses options offensives polyvalentes, à la solidité de son milieu de terrain et de sa défense, ainsi qu’aux compétences d’Enrique en matière de gestion des matches.
Une force qui dépasse les frontières du championnat de France
On a longtemps dit que les difficultés du Paris Saint-Germain étaient dues à la faiblesse du championnat national. Aujourd’hui, cette hypothèse semble avoir été infirmée :
- Auparavant : « Paris est faible parce que la ligue est faible ».
- En ce moment : « Paris est fort parce que le championnat est faible, ce qui lui permet de se concentrer sur la Ligue des champions.
La vérité est que l’équipe est terrifiante, qu’elle joue dans un championnat national facile ou dans une compétition européenne plus difficile.