Les observateurs considèrent que le groupe du Maroc à la Coupe du monde 2026, qui comprend le Brésil, l’Écosse et Haïti, semble ouvert à toutes les possibilités et à tous les scénarios possibles, sans avantage clair pour aucune partie, malgré le lustre historique de l’équipe de la « Samba », qui a perdu une partie de son ancien prestige de géant terrifiant du football au cours des dernières décennies.
De nombreux observateurs se souviennent de la similitude frappante entre ce groupe et celui des Lions de l’Atlas à la Coupe du monde 1998 en France, où ils avaient perdu contre le Brésil par 3-0, avant de revenir en force et de remporter une large victoire contre l’Écosse sur un score similaire, mais un surprenant match nul 2-2 contre la Norvège les a empêchés de se qualifier pour le deuxième tour malgré leur honorable performance.
Les analystes soulignent que le terrain sera le seul juge, et qu’une bonne gestion du match et une concentration psychologique seront la clé du succès, surtout avec des chances égales pour les quatre équipes, car le Maroc a la capacité de réécrire son histoire, s’il s’appuie sur le jeu collectif, la discipline tactique et la liberté par rapport à la pression des grands noms.
La cérémonie du tirage au sort de la Coupe du Monde de la FIFA 2026 a eu lieu aujourd’hui, vendredi 5 décembre 2025, au John F. Kennedy Center for the Performing Arts à Washington DC, dessinant ainsi la carte des groupes une fois pour toutes et lançant le compte à rebours des rencontres épiques qui attendent les équipes arabes et internationales.


